
L’humoriste Christine Morency, connue pour sa franchise et son authenticité, a récemment marqué l’actualité numérique en publiant une photo d’elle en bikini, accompagnée d’un message puissant en faveur de l’acceptation de soi.
Par ce geste assumé, elle a rappelé à ses abonné·es l’importance de profiter de l’été sans honte, sans complexes, et sans laisser place aux diktats corporels. Fidèle à son ton direct, Morency a une fois de plus fait preuve de courage en se positionnant comme une voix forte pour la liberté corporelle.
Le message n’a pas tardé à faire réagir : sur les réseaux sociaux, des milliers d’internautes ont salué cette prise de parole rafraîchissante. Les réactions bienveillantes, les commentaires d’encouragement et les partages enthousiastes ont démontré à quel point le discours de Morency résonne auprès du public, particulièrement dans un climat où l’image de soi demeure un sujet délicat.
Une réponse brillante à un commentaire déplacé
Cependant, l’élan de positivité a été brièvement perturbé par une remarque désobligeante émanant d’un salon de coiffure québécois. Sous une publication liée à la prise de position de l’humoriste, le commerce a simplement commenté « beurk », déclenchant une vague d’indignation. Christine Morency, loin de se laisser abattre, a réagi avec son sens habituel de l’humour et de la répartie. Comparant cette maladresse à une auto-évaluation négative sur Google, elle a su tourner la situation à son avantage, tout en soulignant l’absurdité d’une telle remarque venant d’un établissement professionnel.
Dans un geste aussi piquant que créatif, elle a ensuite publié une photo d’elle en bikini apposée sur la vitrine du salon en question. Ce clin d’œil audacieux a suscité un torrent de soutien en ligne et renforcé l’idée que la confiance en soi peut renverser les jugements malveillants.