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Claudie Mercier brise le silence et prend une position inattendue dans une affaire très délicate
Crédit Crédit photo: Instagram

Une simple réponse dans un balado français a suffi pour placer la youtubeuse Cocottee au centre d’une tempête de commentaires haineux.

Invitée à parler de son « body count » (nombre de partenaires sexuels), elle confie : « Moi exemple, comme body count, au Québec c’est considéré comme peu, mais ici c’est considéré comme énorme. » Interrogée sur le nombre exact, elle répond simplement : « 13 ».

Rapidement, la vidéo, relayée sur le compte Instagram Melkylaf, est accompagnée d’un commentaire moralisateur, déclenchant une vague de réactions jugées rétrogrades. L’auteur précise pourtant : « En passant je n’ai rien contre elle. C’est juste la phrase qui m’a fait réagir. »

Claudie Mercier monte au front

Choquée par les critiques, Claudie Mercier n’a pas tardé à prendre position. Elle s’est exprimée d’abord en commentaire sous la vidéo, puis dans une série de stories engagées :

« Ça va juger le body count ? Who the fuck cares ? On peut-tu juste vivre ? »

Elle rappelle que, tant que les relations sont consenties et que la personne est célibataire, il n’y a aucun problème : « Son corps, ses choix. » Ce qui l’a particulièrement interpellée, c’est le nombre de réactions positives à la publication :

« Ce qui me choque le plus, c’est de voir qu’il y a 20 000 likes sur la vidéo. Des gens qui vont juger le body count des autres… On s’en cal*** tu ? »

Dans son message, Claudie souligne une évidence qui, en 2025, ne devrait plus être sujette à débat :

« On peut-tu laisser autant les femmes que les hommes coucher avec qui ils veulent si tout le monde est consentant ? »

Avec son franc-parler, elle ajoute : « Qu’une personne ait couché 13 fois avec sa blonde ou que toi t’aies couché avec 13 personnes, c’est la même affaire. » Et de conclure avec humour :

« Si ce gars-là est choqué du body count de Cocottee, il ferait une crise de cœur en apprenant le mien. »

Pour Claudie Mercier, le message est clair : le body count ne devrait plus être un sujet de jugement. Tant qu’il y a respect et consentement, la vie intime d’une personne ne regarde qu’elle.

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