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Le père de la famille Groulx est atteint de la paralysie de Bell et nous avons des nouvelles
Crédit instagram de Patrick Groulx

La neuvième saison de La famille Groulx s’apprête à débarquer sur nos écrans cet automne.

Après l’arrivée de leur 13ᵉ enfant en mai 2024, Tara et Pascal ouvrent à nouveau les portes de leur quotidien bien rempli.

Entre projets des enfants, défis financiers et moments de tendresse en couple, la série promet un mélange d’émotion, d’authenticité et d’humour.

Une famille qui évolue sous nos yeux

Cette nouvelle saison met en lumière la transition de plusieurs enfants vers la vie adulte. Certains se lancent dans des carrières exigeantes : l’un s’apprête à devenir électricien, une autre rêve de médecine ou de pharmacie, tandis qu’un autre se destine aux soins infirmiers. L’une des filles a même choisi la voie policière.

En parallèle, les téléspectateurs découvriront le quotidien animé par le plus jeune, qui a rapidement appris à marcher. « Comparé aux autres, il nous a vite fait courir ! » s’amuse Tara. Avec 13 enfants aux personnalités bien distinctes, les Groulx jonglent entre encouragements, encadrement et organisation millimétrée.

Santé et résilience de Pascal Groulx

Pascal, atteint de la paralysie de Bell, confie qu’il ne s’est jamais totalement rétabli : « J’ai des journées plus difficiles, mais je suis bien entouré ». Malgré les effets persistants, il choisit de se concentrer sur l’essentiel : sa famille, son équilibre et les moments de bonheur partagés.

Des défis financiers bien réels

Le couple n’hésite pas à aborder la question économique. Entre l’augmentation du prix de l’épicerie, les vêtements, les soins dentaires et les taxes municipales, le budget familial est mis à rude épreuve. Tara souligne que leur facture alimentaire hebdomadaire est passée de 400-500 $ à près de 800 $. « On court les spéciaux et on révise notre budget sans arrêt », explique Pascal.

Et l’amour dans tout ça ?

Même avec 13 enfants à la maison, Tara et Pascal trouvent des moments pour se retrouver, souvent grâce à l’aide de leurs aînés. Quant à l’idée d’un 14ᵉ enfant, rien n’est prévu… mais la porte n’est pas complètement fermée.

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