Skip to content
Un chroniqueur de QUB Radio suspendu pour des propos controversés

La comédienne québécoise Catherine Brunet s’excuse publiquement après avoir déclenché une tempête sur les réseaux sociaux.

Mercredi soir, elle avait réagi à l’annonce de l’assassinat de Charlie Kirk, militant d’extrême droite américain, en écrivant « Omg yassssssssss lets go girls » sur Instagram. Son message, effacé peu après, avait déjà été capturé et partagé massivement, suscitant des réactions négatives.

Dans une publication faite jeudi matin, Catherine Brunet a reconnu son erreur et expliqué qu’il s’agissait d’un geste impulsif :

« Même si j’ai écrit ça dans un moment d’impulsion, je comprends que j’ai manqué de jugement. Je m’excuse d’avoir ajouté du bruit inutile dans un moment grave. »

L’actrice, actuellement à l’affiche de la série Ravages sur illico+, affirme vouloir tirer des leçons de cet incident et mieux réfléchir avant de s’exprimer publiquement.

Qub Radio suspend Francis Gosselin

Presque au même moment, Qub Radio a dû réagir à une autre controverse. Le chroniqueur Francis Gosselin a fait une blague jugée déplacée lors d’une intervention à l’émission du retour de Richard Martineau. Faisant référence aux activités de conférencier de Justin Trudeau, il a conclu en disant : « Tu sais qui ne va plus donner de conférence ? Charlie Kirk. »

L’animateur a aussitôt exprimé son malaise et Gosselin s’est excusé sur-le-champ en parlant d’« humour noir ». Mais l’extrait, coupé dans la version en rattrapage de l’émission, a circulé en boucle sur les réseaux sociaux.

Face à la controverse, le chroniqueur a reconnu que sa remarque était de mauvais goût et a tenu à rappeler qu’il n’existait « aucune justification » à l’assassinat politique de Charlie Kirk.

Qub Radio a tout de même annoncé sa suspension dans un communiqué officiel, précisant vouloir se dissocier de ces propos.

Réactions publiques et responsabilité des personnalités

En quelques heures, deux personnalités médiatiques ont dû présenter leurs excuses : Catherine Brunet s’excuse pour une réaction émotive, tandis que Francis Gosselin est sanctionné pour une plaisanterie déplacée. Ces incidents soulignent la difficulté croissante, pour les figures publiques, de trouver le juste équilibre entre spontanéité et responsabilité dans un espace numérique où chaque mot peut être repris, partagé et critiqué.

Plus de contenu