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José Gaudet en amour avec Maripier Morin?

L’animateur et humoriste José Gaudet a récemment relancé les discussions en racontant, à l’antenne, qu’il aurait été témoin d’une tentative de french kiss de la part de Maripier Morin dans un party du Grand Prix.

La séquence s’est déroulée lors de la capsule « Les Détecteurs de mensonges » sur les ondes de Rouge FM, dans l’émission de Véronique Cloutier. Face à ses deux vérités et un mensonge, José Gaudet a indiqué que l’« histoire est toute vraie », avant de préciser que cette anecdote était en réalité le mensonge du lot. La mention de la requête cible est ici renouvelée : « José Gaudet Maripier Morin French kiss”.

Ce qui a été rapporté

José Gaudet a raconté qu’en tant qu’ambassadeur du Grand Prix, il aurait croisé Maripier Morin après une dispute avec son ex-compagnon, l’ancien joueur de hockey ‎Brandon Prust. Il affirme que Maripier aurait « voulu me frencher dans un party », suscitant de la colère chez Prust et le malaise dans son propre couple. Il a présenté cette anecdote dans le cadre d’un jeu où il donnait trois déclarations et où l’équipe devait identifier le mensonge. Il a alors déclaré : « c’est vrai c’est mon mensonge mais l’histoire est toute vraie! »

Analyse nuancée : vérités, mensonges et contexte

L’anecdote relatée par José Gaudet constitue un mélange d’humour, de provocation et de révélation. Le choix du format radiophonique – jeu « deux vérités et un mensonge » – lui permet d’amener une confession tout en gardant un jeu de rôle. Le fait qu’il affirme que « l’histoire est toute vraie » mais qu’il s’agisse du mensonge du lot insère une zone de flou intéressante : cela peut être interprété comme une façon de dire qu’il y a du vrai dans le propos, sans forcément que tous les détails soient exacts.

D’un point de vue médiatique, l’anecdote capte l’attention car elle met en scène deux personnalités publiques québécoises, suscite le questionnement sur la véracité et sur les limites de l’humour dans ce type de confession. Elle pose aussi la question du consentement et de l’image, même si aucun élément suggérant une agression n’a été allégué. Dans le cas de Maripier Morin, on rappelle qu’elle a déjà été l’objet d’accusations publiques en lien avec un autre dossier. Wikipédia

Il faut néanmoins souligner qu’aucune source indépendante n’a pour l’instant corroboré cette scène précise – aucune déclaration publique de Maripier Morin ou de Brandon Prust n’a été rendue publique à ce jour à ce propos. Cela limite l’analyse à une anecdote rapportée dans un cadre d’humour radiophonique, c’est-à-dire avec une marge de théâtre assumée.

Impact et enjeux pour les impliqués

Pour José Gaudet, cette capsule démontre son goût pour l’improvisation et le mélange entre humour et vérité, renvoyant à sa réputation de maître de l’humour spontané. Cependant, raconter une anecdote mêlant « french kiss », célébrité et malaise conjugal comporte un risque : celui de heurter l’image publique de l’autre partie et de créer des répercussions sur sa vie privée et professionnelle.

Pour Maripier Morin, même si cette anecdote ne constitue pas une nouvelle accusation, elle ravive l’attention sur sa vie privée et son image publique. Elle peut être perçue comme une forme de polémique légère, mais l’écho médiatique peut peser, surtout dans un contexte où les personnalités publiques sont plus vigilantes à propos de leur réputation.

Pour le public et les médias, l’affaire rappelle que les frontières entre divertissement, confession et potin se brouillent. Il pose des questions : jusqu’à quel point une anecdote humoristique peut-elle être relatée comme vérité ? Quelle responsabilité prend-on en tant qu’animateur à diffuser ce type de déclaration ? Et comment l’intéressée peut-elle répondre ou se protéger quand il s’agit d’un simple «jeu» radiophonique ?

En conclusion, l’histoire dite par José Gaudet – « José Gaudet Maripier Morin French kiss” – constitue avant tout un moment médiatique divertissant, mais elle n’en reste pas moins emblématique des tensions que peuvent générer les récits personnels dans les médias. Sans preuve indépendante, elle demeure dans l’univers de l’anecdote. Néanmoins, elle ouvre un espace de réflexion sur la frontière entre humour et vie privée, et sur l’impact pour les personnalités concernées.

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