« Rome ne s'est pas bâtie en un jour, donc on s'attendait à ce que ce soit une année de transition, une année difficile pour établir implanter un festival de cette envergure-là , admet-il d'emblée.
[...]
On s'attendait à ce que ce soit difficile, mais disons qu'on ne s'attendait pas à ce que ce soit aussi difficile au niveau de la vente de billets.
[...]
C'est un marché où on est habitué, où on présente de nos spectacles. D'ailleurs, on était là il n'y a pas tellement longtemps avec Le Matou, au Centre culturel [de l'Université de Sherbrooke], où on a lancé la production du spectacle. Moi, depuis plusieurs années, je travaille à diffuser, à faire la promotion d'événements et de spectacles à Sherbrooke.